Le réveil sonne trop tôt [PV libre]

Muchu s'était réveillée tôt ce matin, trop tôt. Et ce pour une raison inconnue. Encore pire, elle n'arrivait pas à se rendormir. Elle avait tout essayé pourtant : elle avait abandonnée le comptage de mouton après le milliène se demandant pourquoi jamais un seul mouton ne se prenaient pas les pattes dans la barrière, puis elle avait décidé de lire, mais elle avait trouvé le roman fade et inintérréssant. Pour comprenant qu'elle ne se re-endormirait plus, elle avait décidée de descendre dans la grande salle. Elle avait essayé de se lever, non sans mal, puisqu'elle avait failli tomber en se prenant les pieds dans le tapis. Elle était arrivée à la porte quand elle pensa que, décidement, sortir avec son pyjama, ce n'était pas une bonne idée. Alors, elle était retournée près de sa valise (il faudrait d'ailleurs qu'elle pense à la ranger celle-là), en se reprenant le tapis et, cette fois-ci, en s'affalant sur le sol telle une grosse crèpe. Elle resta ainsi cinq minutes, attendant que la respiration des ses voisines reprennent un rythme normale, et pour ne pas les pertuber dans leurs sommeil (pourquoi elle ne dormait pas déjà ?). Puis, elle s'était relevé, avait épousseter ces vetement pleins de poussières (saleté de tapis, ils ont jamais été battus ou quoi ?) et était retourné près de sa valise. Elle avait choisi quelques vêtement au hasard, espérant que l'ensemble donnerait un tout cohérent et plus ou moins acceptable. Enfin elle était descendue dans la salle commune, en évitant soigneusement le tapis. Pendant cinq minutes, sur le pas de sa porte, elle pensa à mettre une pancarte : Attention Tapis Dangeureux, mais elle se dit que ce ne serait surement pas raisonable. En descendant les escaliers, elle rata la dernière marche et se re-etala de tout son long. Ce n'était définitivement pas sa journée. En plus, avec le bruit qu'elle avait fait, elle avait surement reveillé tout le dortoir, ou pire, un prof (on ne sait jamais, ils ont l'ouïe tellement fine pendant les cours...) En se relevant, se qu'elle fit très brusquement de père qu'un élève ne la voit le cul en l'air et elspieds toujours dans les escaliers, elle s'était cognée à une plante en pot, en s'excusant bien poliment d'un petit :"Pardonnez-moi Madame". Si quelqu'un la voyait, il l'aurait sans doute prise pour une folle. Elle s'était assise dans un fauteil, celui qui était confortable et le plus près du fond, et, après dix minutes, avait remarqué que la cheminée n'était pas allumée. Il devrait être vraiment tôt pour que la cheminée ne fonctionne pas. Elle alla l'allumée, ce qui n'était chose facile puisque à la base elle était magique. Or, elle essayait de l'allumer à la main. Là encore, si quelqu'un la voyait la tête dans les braises, on l'aurait pris pour une folle. Donc le feu allumé, elle retourna s'asseoir dans son fauteuil. Mais un truc l'embetait, un truc dur dans sa poche de jupe. De sa jupe ? Mais sa jupe n'avait pas de poche. En fait, elle portait son legging blanc en dessous, avec son MP3 dans sa poche. Elle regarda l'heure : 2h47... Pourquoi elle s'était levée si tôt, et pourquoi elle avait fait autant de bruit. Bon, elle avait du temps à tuer : un truc genre six heure puisqu'on était samedi. Elle mit son MP3 sur ses oreilles et mit son bandeau dessus, pour être sur que ses écouteurs ne tombent pas. Puis, elle se leva, dégagea les fauteuils. À trois du mat', elle n'aurait surement pas de problème. Puis, elle se mit au centre de la pièce, et chercha un chouette morceau sur son MP3, et elle le chercha longtemps son morceau. Un quart d'heure après, elle en trouva un enfin, suivi d'un certain nombre d'autre utilisables. Et elle commença à danser. Si on peut apprler ca danser puisque son lever matinal n'avait fait qu'engourdir son esprit et ses muscles. Elle savait que de l'extérieur, les gens verrait un truc coordonné, bien exécuté et bien rythmé, bien que sans musqiue, il se demanderait ce qu'est cette folle qui fait du bruit si tot le samedi matin et qui danse sans musique apparente. Masi elle trouvait ces mouvement rudes et elle voyait des erreurs pourtant si un prévisible. Elle était à son sixième morceau, et il devait être quatres heures du matin, et elle avait exécutée une magnifique retombé sur son pied droit suivi dans effrodement au sol spectaculaire. Celui-ci était prévu, pas comme les quatorze autre fois où elle était déjà tombée ce matin. Elle reprenait sa respiraton au sol quand elle entendit le parquet au dessus de l'escalier grincer...